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L'ATELIER ROZSDA
L'ATELIER

Endre Rozsda s'est installé au Bateau-Lavoir, à Montmartre en 1979. 

 

L’atelier Rozsda se trouve encore au Bateau-Lavoir (13, place Emile Goudeau, Paris).

Ce lieu a été, depuis 1904, une cité d’artistes, résidence et réunion de nombreux artistes peintres. Un incendie l’ayant gravement endommagé en mai 1970 (il n’en reste alors que la façade), il est entièrement reconstruit en 1978. Il comporte vingt-cinq ateliers d’artistes.

 

On y accède par le 13 place Emile Goudeau « en descendant comme dans un bateau » aux dires de Max Jacob, au premier étage et en traversant la cour intérieur.

On y peut retrouver l’espace aménagé par Endre Rozsda qui garde encore son empreinte. Pour consulter la bibliographie et admirer sa collection personnelle, contacter José Mangani au 01 42 51 81 57. 

BATEAU-LAVOIR
Bateau-Lavoir
CONTACT
Contact

Merci beaucoup!

13, place Emile Goudeau
75018 Paris

FRANCE

 

Interphone ROZSDA-MANGANI


Tel : 01 42 51 81 57

Email: atelier@rozsda.com

 

 

"C’est en 1904 que Picasso et sa bande d’Espagnols vont révolutionner l’esprit de la maison. Il occupe l’atelier du céramiste Paco Durrio et prolonge sa période bleue misérabiliste en période rose des saltimbanques, pleine d’espérance après sa rencontre avec Fernande Olivier tenant un petit chat devant la fontaine, seul point d’eau au pied de l’escalier. Autour de Picasso se trouvaient Van Dongen venu de Hollande, Freundich d’Allemagne, Modigliani d’Italie, Derain, Vlaminck et plus tard son compatriote Juan Gris. Ajoutons les poètes Apollinaire, Max Jacob, André Salmon qui le portèrent à bout de bras, diffusant ses œuvres tant qu’il resta inconnu.

Ce sont eux qui trouvent le nom Bateau-Lavoir. Max Jacob

l’aurait ainsi appelé en voyant du linge à sécher la première

fois qu’il y pénétra." (Jeanine Warnod, in Guide des

collections du Musée de Montmartre, éd. Somogy, 2016)

Le poète André Salmon qui, comme Max Jacob et Apollinaire,

a vécu en étroite communion avec les artistes du Bateau-Lavoir,

a décrit ainsi ce lieu qu’il fréquentait souvent : « Au sommet d’un

escalier de pierre, la rue Ravignan se termine en prenant la forme

d’une placette provençale... » Puis, après avoir poussé la porte :

« ...Le visiteur a la surprise de descendre des escaliers pour se

rendre aux différents paliers au lieu de les monter ».

Le Musée de Montmartre a aménagé une vitrine interactive retraçant les évènements qui ont marqué cet site.

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